Étude de la Bulbine chez l’homme: Analyse critique des résultats et des risques potentiels
Une étude préliminaire chez l'homme, financée par des marchands en suppléments alimentaires de musculation, démontre qu'en ingérant 325mg de Bulbine natalensis deux fois par jour (650 mg au total, séparés par 6 heures) pendant 28 jours ont noté une légère augmentation des phosphatases alcalines (PAL) de 2% alors qu'en comparaison le placebo a diminué de 2,4%. Cette étude peut être jugée comme cliniquement non pertinente car peu poussée et orientée.
Un groupe de recherche d'Afrique du Sud semble avoir démontré des effets toxiques non létaux à répétition chez un rat. L'unique étude humaine, de ce groupe de recherche, sur la bulbine (soutenue financièrement par un producteur de bulbine) a démontré une augmentation des phosphatases alcalines à un degré cliniquement élevé.
Les changements histopathologiques (étude microscopique des tissus) observés chez le rat n'ont pas été suffisamment réalisés chez l'homme. Alors que 650 mg de bulbine ne semble pas très dommageable selon les preuves préliminaires, un effet toxique ne peut pas être exclu.